Alexander Drčar schreibt:
Wie kann man Traditionen aufgreifen und fortführen, ohne dabei zwangsläufig einen musikgeschichtlichen Rückschritt zu machen? Diese nur scheinbare Unvereinbarkeit und ihre geglückte Überwindung sind für das Werk von Maximilian Kreuz geradezu paradigmatisch. Gerade am Umbruch von der Moderne zur Postmoderne wurde von „Hütern des Fortschritts“ jedwedes Anknüpfen an Bestehendes oft mit großem Argwohn betrachtet. Für Maximilian Kreuz hat der Fortschrittsglaube nur insofern Gültigkeit, als der zeitgenössische Schaffensprozess in Bewegung bleiben und durch neue Klangformen bereichert werden muss.
Wie nun aber diese Klänge beschaffen sind, bestimmen keine objektiv-dialektischen Prozesse, sondern vielmehr das freie Individuum, welches eben jene Prozesse bewusst erlebt und eigenständig reflektiert. ….
Stets hat sich Kreuz dagegen verwehrt, die Wirklichkeit in Tönen bloß abzubilden. Ganz im Gegenteil: Musik soll ein ästhetisches Gegengewicht zur nüchternen und oft auch erschreckenden Alltäglichkeit schaffen. …
Musik ist für Maximilian Kreuz eben ein ernstes Anliegen und kein bloßes Experimentierfeld: denn sein kompositorischer Anspruch begnügt sich nicht damit, kurzlebige Unterhaltungsware oder modernistische Eintagsfliegen zu produzieren.
How can one adopt and continue musical traditions while, at the same time, avoiding a retrogression into musical past? This apparent incompatibility and the succesful solution of the problem are paradigmatic of the work of Maximilian Kreuz. Particularly at the threshold separating the modern form the post-modern the „ guardians of progress“ watched suspiciously over any reference to existing values. For Maximilian Kreuz this absolute belief in progress applied only insofar as it kept contemporary creativity in motion and enriched it with new forms of sound. However, the nature of these sounds is not determined by objective and dialectical processes but by the unconstrained individual consciuosly experiencing and independently reflecting these processes. This might be utopian but nevertheless fascinating for its tonal results. …
This is his artistic credo: Kreuz has always refused to solely reflect reality in music. On the contrary, Music should be an aesthetic counter-balance to our sober, often frightening everyday life. …
For Maximilian Kreuz music is a serious concern and not a playground for experiments: in his opinion a composer cannot be satisfied with producing short-lived entertainement of modernistic fads.
Est-il possible de recourir aux traditions tout en les poursuivant sans faire forcément un pas en arrière dans le développement des formes musicales? Cette incompatibilité apparente – mais en réalite inexistante – et le triophe remporté sur celle-ci sont un véritable paradigme dans l´oeuvre de M. Kreuz. Surtout à l´époque de transition de la période moderne à la période dite post-moderne, les soi-disants „gardiens du progrès“ ont consideré souvent avec un grand soupçon tout attachement à la tradition. Pour M. Kreuz, la confiance dans le progès n´est valable que dans la mesure que la production musicale contemporaine reste en mouvement et est enrichis au-delà par de nouvelles fromes de son. La qualité du son n´est pas déterminée par des processus dialectiques objectifs, mais plutôt par l´indiviu libre qui les expérimente en pleine conscience et les reflète de façon autonome. Peut-être une utopie, mais le résultat musical est vraiment impressionant. …
Pour M. Kreuz, la synthaxe musicale „pure“ obéit aux règles du cosmos éternel, tandis que le paramètre de l´expression musicale symoblise les passions humaines. Voilà la definition du „crèdo“ de son art: M. Kreuz refusait toujours de ne montrer dans sa musique que la réalité, bien au contraire. A son avis, la musique doit créer un contrepoids ésthétique aux évènements quotidiens trop souvent désagreables tout en sn rendant compte du fait que, de cette façon, il exclut sa musique de tous les mouvements et confrontations socio-culturels au premier rang pour le moins. .…
Dans ses compositions M. Kreuz ne se contente pas de créer des oeuvres de divertissemt ephémères ou des gags modernistes.